Un casseur est un casseur, foot ou pas, français ou pas, binational ou pas . Point !
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En pleine coupe du monde de foot, que je ne suis pas ou peu, ou de façon très distraite, ce joli texte de Jean-Pierre Naugrette, plein d’ironie métaphysique, publié dans la Revue des Deux Mondes.
Bien, le gouvernement a tranché, et il portera devant l’Assemblée la fusion du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Première défaite de Bourquin, et ce n’est pas la dernière. Au final, ayant perdu tout crédit politique dans cette affaire, ses perspectives dans la future grande région sont quasiment nulles.
Deux études commandées par d’honorables institutions culturelles (CNC, SACEM, etc.) présentent les industries culturelles comme un poids lourd de l’économie française : 75 milliards d’euros selon l’étude d’EY (Ernst and Young), plus que les télécommunications, la chimie ou l’automobile. Et , dans l’ambiance du moment où les intermittents du spectacle et les différents acteurs de la filière occupent le devant de la scène, sont régulièrement exhibées par les intéressés pour s’opposer à toute remise en cause des politiques publiques dont elles bénéficient. Sauf que ce résultat est fondé sur d’énormes erreurs économiques qui se cumulent pour surestimer de façon considérable (de 2 à 7 fois…) la vraie taille économique de ces industries culturelles.
Dans le Monde.fr , et sous le titre « Comment la France peut rebondir. », ceci :
« Les Français, dites-vous en ouverture de votre rapport, sont considérablement plus inquiets pour l’avenir de leur pays que pour eux-mêmes. Pourquoi une telle inquiétude collective ?