Le 14 avril, au lendemain du décès de Mario Vargas Llosa, un message de Jaime Sacio, un de mes « amis » Facebook que je ne connais pas personnellement, a retenu mon attention : « Bonjour M. Santo. C’est toujours un plaisir de vous lire. Sachant votre intérêt pour la langue espagnole, je me permets de vous conseiller un roman moins connu de mon compatriote Vargas Llosa : « Travesuras de la Niña Mala » (Tours et détours de la vilaine fille en français). »
Quand j’ai coupé court par le Palais Neuf pour me rendre au jardin de l’Archevêché, je ne pensais pas que cette sculpture, placée là depuis quelque temps et souvent vue, s’imposerait à mon esprit, ce jour et à cette heure, au point d’arrêter ma course et d’en désirer garder le souvenir en la photographiant.
Pour la première fois, je voyais ce magnifique corps de femme, brun et nu, de face, sans personne autour pour en parasiter l’expression ; un corps ferme et souple duquel émanait une impression saisissante de force et de tendresse.
Ce que je ne savais pas au moment de la prise, c’est que figurerait aussi, dans le cadre, une silhouette de métal blanc aux contours indéfinis, semblable à un spectre rongé par des mites ; un de ces fantômes qui, en silence, rôdent autour de nous et savent se faire oublier.
Illustration : Palais des Archevêques Narbonnne. Cours du palais neuf
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