Archive pour juin, 2019

Narbonne-Municipales 2020 ! Un projet pour figurer dans les 10 premières villes vertes françaises…

 

 

Réchauffement climatique, transition énergétique, nouveaux usages aussi des coeurs de ville – ce sont de moins en moins des espaces commerciaux, au sens traditionnel du terme – , de la part des résidents permanents, comme des touristes, notamment, contraignent les élus à penser la ville (et y vivre) autrement.

l’État « nounou » : il fait chaud, il faut boire ; bien s’habiller…

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Il fait chaud ! Très chaud ! Et me l’entendre dire tous les matins et tous les soirs de tous les jours par les présentateurs météo des journaux télévisés, les éditorialistes des stations de radio, les ministres, les présidents et représentants des partis d’opposition — certains n’hésitant pas à rendre le gouvernement responsable de la canicule que nous subissons en ce moment — , les militants d’associations « vertes », me fatiguent. Oui, il fait chaud, très chaud ! Il faut boire, boire, nous est-il rabâché.

Petite carte postale de LLafranc et de Calella de Palafrugell signée Josef Pla…

LLafranc

Retour de LLafranc. Si près… et si loin. Une autre langue, d’autres habitudes sociales : on y déjeune et dîne à « pas d’heures » et au « 20 heures de TF1 ou de la 2 » : promenades en famille sur le petit et charmant front de mer… Le calme, surtout ! Pas de voitures, ni de musique d’ambiance dans les restaurants ou aux terrasses de cafés…

Petite revue dominicale d’infos sur Facebook concernant la Narbonnaise…

Petites « infos » cueillies sur Facebook !

Samedi 21 juin, le député de la REM, Alain Perea, était à Coursan, sans son fusil de chasse, pour assister à une distribution de poules de réserve — Une centaine si je compte bien. Et ce « afin de réduire la part des déchets fermentescibles » et promouvoir ainsi une « écologie de proximité et de bon sens ».

Des maires et des élus locaux « récompensés » par un avant projet de loi très politique : « Proximité et engagement »…

   

Après six mois de quasi-suspension de l’action politique gouvernementale pour cause de crise des « gilets jaunes » et de grand débat orchestré par le Président de la République lui-même, le gouvernement en tire toutes les conséquences, institutionnelles et politiques, dans ses relations avec les élus locaux. Des élus locaux qui, objectivement, lui ont permis de reprendre le contrôle politique de ce mouvement social de grande ampleur (moins par le nombre de ses manifestants d’ailleurs que par son dynamisme et la durée de leur mobilisation).