Archive pour février, 2018

Le Grand Narbonne et la Narbonnaise menacés par l’étalement urbain !

 

Centres-ville de Narbonne-Marcorignan (vue aérienne). Entrée de ville centre et lotissement…

   

j’ai récemment consacré un billet « aux dindons de la farce Marcorignan »  – un collectif qui s’oppose aux projets de construction d’une prison et d’une aire de grand passage à l’entrée de leur village – en soulevant une question qui va bien au-delà de celles posées par les intéressés (je signale au passage qu’une chaîne humaine est prévue le 4 mars, à 16 heures, aux portes de Marcorignan). Ces projets, je les conteste aussi,  en effet ; et ce pour des raisons de fond qui tiennent à la politique d’aménagement menée dans cet espace sensible de la narbonnaise. [1]

l’AFEP, le lobby patronal des Grands Corps…

 

Ambroise ROUX (1920-1999), PDG de la Compagnie Générale d’Electricité (photo Guy Le Querrec/Magnum Photos, s.d.)

 

Je reprends ici, in extenso, avec son autorisation, l’article publié par mon ami Alexandre Moatti dans son blog : « Les zélites en France, histoire(s) » (dont je conseille vivement la lecture) :

 

L’AFEP (Association française des entreprises privées) étant sous les feux de l’actualité (on parle d’un code de gouvernement des entreprises, créé en 1995, réactualisé récemment — dont j’ignorais comme beaucoup sans doute l’existence ; des universitaires ont écrit une tribune dans Le Monde du 20 février 2018 à ce propos, notamment sur la rémunération des patrons), je me décide à accélérer ce billet que je voulais faire sur l’AFEP de longue date. La page Wikipédia de l’AFEP étant très lisse, ou lissée, quelques compléments sont nécessaires.

Aurès 1935, à la découverte du temps perdu.

   

Thérèse Rivière.

   

Le pavillon populaire de Montpellier consacre une très belle expo aux photographies de Germaine Tillion et Thérèse Rivière : Aurès 1935. Cette exposition prend place dans une thématique consacrée à la photographie documentaire et est à plus d’un titre un bel évènement culturel.

L’option préférentielle accordée par les collectivités locales au RCNM est-elle justifiée ?

 

   

Narbonne fut grande, capitale aussi d’une vaste province romaine. Elle ne l’est plus depuis des lustres et ne le sera plus jamais. Ce qui ne l’empêche pas d’honorablement tenir son rang. Celui d’une ville moyenne au charme indiscutable dans laquelle il fait bon vivre sans se croire obligé de ressasser la gloire de son lointain passé. Fut-elle sportive, comme celle de son club de rugby, le RCNM, entré lui aussi désormais dans les livres d’histoire.

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